index antiquites 1 2 3 +noms Diaporama
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1/ Ce sont des faucilles un peu spéciales; elles servaient à couper les gros pains de campagne.
2/ Présentoir à cuillères. Il peut descendre pour que chacun y prenne sa cuillère. Les couteaux restant dans les poches.
3/ Le nom breton est "troell". C'est une sorte de tendeur qui réunit les deux extrémités de la corde serrant un chargement de paille, foin, fagots ou goémon. L'extrémité libre passe par l'oeillet central et un fois qu'on a tiré dessus le plus possible on fait une ou deux demi-clés sur la pointe du troell.
4/ Petite enclume que l'on fiche en terre pour " taper la faux" ou la faucille afin d'en amincir le fil et rendre d'autant plus efficace le passage de la pierre à affûter. Dans une journée de fauche, on le faisait au moins deux fois. De quoi attraper le coup de main, car ce n'est pas si facile d'éviter les "échelles" ou déchirures dans l'acier de la faux.
5/ Clayette où on mettait les pommes de terre à germer avant de les planter.
6/ Banale meule à affûter mais c'est celle que j'ai fait tourner bien des fois quand le père affûtait ses outils. Il fixait au dessus un seau percé qui mouillait le grès et lui par la même occasion si je tournais trop vite.
7/ Ce n'est pas un crochet de pirate mais il servait pour manipuler les bottes de foin ou de paille pour les ranger dans la remorque ou sur le tas dans le hangar.
8/ Corne de vache recyclée en étui à pierre à affûter. Le faucheur passait le crochet à sa ceinture et avait ainsi à sa disposition la pierre mouillée en permanence. Il s'arrêtait très souvent pour passer un coup de pierre sur le fil de la faux.
9/ Cordages sur un travail. Celui ci est un travail à boeuf du Charolais. Les sangles passées sous le ventre de l'animal le soulevait permettant ainsi de l'immobiliser pour traiter ses sabots.(voir page suivante)
10/ Hache landes. Les deux grandes lames actionnées à la main ( puis au manège à chevaux et au moteur Bernard) coupaient le mélange de landes, ajoncs, herbes dont on nourrissait les chevaux. L'opération dégageait une odeur très forte. Le plus comique c'était de voir comment les chevaux s'y prenaient pour manger ces mets piquants.
11/ Un trou dans la pierre pour passer le licol, et la bête était attachée.
12/ L'araire ne servait plus depuis l'arrivée de la charrue "Brabant" réversible et tellement plus pratique avec ses roues et ses réglages...Mais pour arracher les pommes de terre elle fait encore usage...
13/ Les pince-nez, le taureau n'est pas coquet, non. Avec ceci dans le nez vous pouvez faire aller où vous voulez la tonne de muscles de Monsieur.
14/ Si les vaches on trop mangé de trèfle, elles peuvent faire du météorisme. Le vétérinaire pouvait mettre du temps à arriver et si vous ne la dégonfliez pas elle pouvait mourir. Il fallait planter le trocart dans la panse et enlever le stylet .
